Hourra l’Oural encore
À la découverte d’une autre Russie.
L’hiver en train, l’été en car, Bernard Chambaz a parcouru l’Oural, territoire méconnu, frontière entre l’Europe et l’Asie.
Un voyage qui doit à son amour de la Russie et de son peuple, mais aussi à la puissance des livres.
Parmi eux, il y a le recueil oublié et décapant d’Aragon, Hourra l’Oural, l’ombre de Pasternak et du docteur Jivago, et enfin l’ombre plus noire de Chalamov et du goulag.
Dans ce récit de voyage peu ordinaire, on croisera des météorites, on découvrira un jeune Eltsine explorateur sans peur, on verra des camions rouler sur la Kama gelée, on visitera le camp de Perm-36 et les monastères de Verkhotourié. On vérifiera avec l’auteur que les statues de Lénine n’ont pas toutes été déboulonnées, loin de là, et que si on a pu évoquer la fin de l’homme rouge, l’homo sovieticus tend à devenir pour les jeunes générations un objet, sinon un sujet de folklore...
978237502-0753-F
- Parution : aout 2020
- Genre : Récit
- Format : 13 x 21 cm
- Thématique : Voyage
- Nombre de pages : 176
- ISBN : 978237502-0753
- La presse en parle
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« Chambaz parsème son récit d’histoires, de légendes, où défilent écrivains, scientifiques, héros de l’Union soviétique, entrecoupé de scènes de chambres d’hôtel, de restaurants tapageurs, de fêtes de rue, de marchés. »
Thierry Clermont, LE FIGARO« Doté de rudiments de russe, l’écrivain voyageur Bernard Chambaz a sillonné la chaîne de montagnes de l’Oural, l’hiver en train puis l’été en car, afin d’étudier les deux profils des contreforts formant une frontière naturelle entre l’Europe et l’Asie. »
Macha Séry, LE MONDE« Sur les traces d’Aragon, et celles de Jivago, par amour de la Russie et de la littérature, Chambaz et sa compagne parcourent l’Oural en hiver et en été. »
Claire Devarrieux, LIBÉRATION« Olivier Rolin s'est fixé une enquête ambitieuse : les 4 300 kilomètres de la Grande ligne Baïkal-Amour. »
Elisabeth Babillé, LE FIGARO MAGAZINE« Chambaz signe un essai contemporain nourri de ses rencontres souvent déroutantes avec les autochtones, qui l’interrogent sur Zaz, Depardieu ou les gilets jaunes. »
Isabelle Lesniak, LES ÉCHOS
